La danse des roses ensanglantées

YEEEAAAAAHHHH! Voilà ma nouvelle serie : La danse des roses ensanglantées ou Odori bara ake (en Japonais) ou The Rose Blood Danse (en anglais).4
Comme elle est totallement différente de mes deux autres fics et que je suis sure qu'elle fera un carton, j'ai mis une petite musqieu d'entrée dont le thème correspond bien avec l'histoire :p
LET'S THE MUSIC!

[youtube] https://www.youtube.com/watch?v=9fa5cpodqRY [/youtube]


Prologue : (le narrateur) /!\ Ceci n'est pas le début alors faites attention /!\

Le conducteur du taxi de disait rien.
La cliente d'aujourd'hui paraissait en effet très... étrange.
Elle avait des bleus noirs et brillants qui parraissaient assez vides, mais si beaux! On aurait dit des étoiles brillants d'une étrange lueur dans un espace vide et désolant.
Ses cheuveux étaient longs et chatains, mais d'un châtain si intense, qu'ils rendaientt sa peau livide.
Ses lévres étaient fines et velouptées, d'un rouge écarlate, voire comme du sang.
Elle portait une tenue d'écolière rouge et noire qui lui allait à ravir.
Il avait assez peur de la jeune fille, elle déployait une aura négative qui le faisait frissoner à chaque fois qu'il sentait son regard se poser sur lui.
Il réussi tout de même à lui bafouiller quelque chose du style : "Hem... Ou vas-tu?"
Il avait très peur de sa réponse et se demandait lui même si elle allait répondre.
"A Gokayama. dit-elle avec une voix douce et fragile.
_Ah... chouette! répondit-il surprit de la douceur de la voix de la jeune fille. Et ton prénom?
_June.
_Joli prénom... bon, il est temps que tu descendes, on est arrivé."
La jeune fille acquiesa est sorti du taxi en sautant.
L'Amiral, comme on l'appelait, descendit aussi et ouvrit le coffre pour rendre la valise à sa propriétaire.
Il rentra dans sa voiture et partit le plus vite qu'il le pouvait : sa montre étant en retard, il croyait qu'il était arrivé à l'avance, mais c'était plutot le contraire. Il allait se prendre un savon par son patron.
Elle le regarda partir puis remarquant qu'elle se trouvait devant la mairie, elle décida d'y entrer jeter un coup d'oeil.
Une pélican était assis derrière le guichet et regardait June, étonnée.

Suite après la pub :p

BONUS :


June Sentô

Pas mal!
Différent de d'habitude mais pas mal!
La suite!

Chapitre 1:
Eclosion


Tombe.
Tombe la neige, comme un rideau blanc.
Pour cacher les blessures d'antan.

C'était une nuit d'hiver, une rude nuit d'hiver.
Le thermométre affichait les -20°c et la neige tombait, sans relâche. Une femme habillée en robe blanche, essayait, tant bien que mal, de marcher.
Elle avait de longs cheuveux noirs se balançant au grés du vent et des yeux noirs brillants comme une nuit étoilée.
On voyait, dans ces yeux, qu'elle s'affollait et qu'elle était désemparée. Elle portait dans ses bras, une petite chose qui gigotait dans des couvertures de soie et qui était la préoccupation de la femme. Celle-ci cherchait quelque chose dans ce paysage de tristesse. Elle s'approcha d'une maison, marquée 47 rue Harmonie et toqua à la porte. Elle déposa ce qu'elle portait et fit quelques pas, pour tomber raide dans la neige.
L'habitant de la maison, accourut pour voir qui avait toqué et ouvrit la porte. Il vit alors le bébé et le prit dans ces bras. Il regarda aux alentours pour voir s'il n'y avait pas son propriétaire et ce fut le choc.
Une magnifique femme, aux cheuveux de nuit et au teint pâle était allongée au sol.

13 ans plus tard...


"Juuuuune! Tu es prête, on va finir par être en retard! cria Kaisen Wakeshima. N'oublie pas que si on est en retard, on va rater le train!
_Oui papa! répondis-je tranquillement. Je finis de m'habiller et j'arrive!"
Je m'appelle June Wakeshima, je suis en plein déménagement avec mon père, Kaisen Wakeshima. Ce n'est pas mon père biologique mais il m'a recueilli quand j'avais à peine six mois, car ma mère est morte. Jusqu'à présent, on vivait à Shirakawa-gô, un petit village sans aucun souci.
Mes premières années d'existence furent heureuses, je me suis fait des amis, j'allais à l'école, enfin, tout ce qu'un enfant aime.
J'ai de longs cheuveux châtains, attachés avec une pince, et des yeux bleus voir gris pétillants qui peuvent raviver un feu presque éteint.
Aujourd'hui, je déménage.
Mon père a trouvé une annonce de travail pour être proviseur dans un lycée très loin d'ici. Il a été accepté et nous devons arrivé au plus vite à notre future maison, dans le village Gokayama.
"Juuuune! hurla une nouvelle fois mon père. On est en retard!"

Chapitre 2 :
Adhésion


Souffle.
Souffle le vent.
Qui fait tourner le cadran.

J'enfillai un polo noir uni avec ma jupe rouge écossaise.
J'allai dans la salle de bain me donner un petit coup de peigne et descendis l'escalier pour rejoindre le placard à chaussures. J'opta pour des babies rouges et mis mon manteau à boutons.
Mon père était déjà dehors en train de finir de charger la voiture. Je le rejoignis et monta dans la voiture. Il y entra par la suite et me regarda un instant. Il me posa une question :
"Prête?"
Je répondis avec un sourire affectueux et regarda en face de moi.
Oui, je suis prête, prête pour une nouvelle vie.


5 heures après...

Le voyage avait été ennuyeux mais les paysages vus avaient étés assez divertissants, personnellement.
Nous étions enfin arrivés à Gokayama et je trouvais le village tout à fait charmant, parfait pour ce refaire une vie.
Un homme, pas tout à fait jeune, habillé assez richement, se dirigea vers nous. Il portait un costume couleur lit de vin avec une cravate noire parfaitement bien nouée.
Ses cheuveux étaient bruns et un peu dégarnis. Il avait un regard gris, stricte et droit et parraissait impassible. Il dégageait une aura froide et autoritaire qui me faisait frissoner. Je n'avais jamais vu quelqu'un qui me faisait un effet aussi étrange...
"Alors, contents du voyage? Dit-il d'un ton dur. J'espère que vous vous habituerez vite ici, tous les habitants ont préparé une fête en votre honneur.
_Heu... oui, oui, bien sur! répondit mon père surpris. Mais... vous n'êtes pas Shigokou Amasaï, le dirigeant de la "Amasaï Fondation"?
_Oui. Et vous, vous devez être Kaisen Wakeshima, le nouveau directeur du lycée Tokaru. J'espère que vous dirigerez bien ce lycée car je compte y inscrire mon fils, Kei.
_Bien sur, monsieur, je le ferai! Pour le bonheur de tous mes élèves! Et puis, vu la distance des autres lycées, il vaudrait mieux, ah ah ah!
Et, moi aussi j'ai l'intention d'y inscrire ma fille, June. Elle est assez reservée mais je suis sûr qu'elle se fera vite des amis, même si elle n'a pas l'habitude de se trouvait dans un milieu de bourgeoisie.
_Ah, très bien, j'espère énormément que nos enfants s'entendront bien. Sur ce, je vous laisse, à ce soir pour les festivités. Elles commencent à 18 heures précises, alors ne soyez pas en retard.
_Oui, au revoir monsieur!"
Je ne croyais pas ce que je vennais d'entendre. Non seulement je devais aller dans un lycée de riches, et en plus je devais me lier d'amitié avec le fils d'un grand patron.
Mon père me caressa alors la tête.
"J'espère que tu t'y plairas, j'aimerai beaucoup que tu aies des amis, tu te sentiras moins seule."
Je ne savais pas quoi répondre.
C'est vrai, j'ai toujours été seule à l'école parce que je ne savais pas vraiment comment me débrouiller pour parler aux personnes.
Mais je suis décidée, je me ferais des amis, coûte que coûte.
Un taxi arriva pour nous prendre et nous déposa devant notre nouvelle maison. C'était un joli petit manoir en pierre grise et au toit bleu marine voir noir. Les fenêtres et les portes étaient de style renaissance et entourée d'une pierre blanche qui ressemblait vaguement à du marbre. Le jardin était très bien entretenu et tous les arbres étaient roses de fleurs. Il était entouré d'un petit rempart de briques de la même couleur que les murs extérieurs de manoir. A côté de l'entrée, avait poussé un rosier rouge. Les roses vennaient d'éclore et il restait des perles de rosée sur les pétales.
J'entra dans le manoir par la porte principale et me surpris dans un grand hall avec un gigantesque lustre doré. Le sol était en carrelage blanc et les murs étaient recouverts d'un papier peint rouge avec des petites fleurs marrons espacées. En face de moi, il y avait un grand escalier de type baroque de la même couleur que le carrelage, qui menait aux chambres, aux salles de bains et aux salles de divertissement.
Je choisissai une chambre, au fond du couloir droit, comportant un balcon avec vue sur le jardin de derrière. J'avais pris soin de monter avec mes valises pour ranger mes affaires dans l'imposante armoire qui s'offrait à moi.
Je commençai à ranger mes pulls et t-shirt quand soudain je me posa une question d'une urgence importante.

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Et ké voilàààà. Le chapitre 2 est terminé, maintenant, c'est au tour du chapitre 3, l'un des plus rigolos à faire je trouve

J'aime. Tout simplement
Par contre le chapitre un était un peu court mais il suffisait vu qu'il y avait le voyage.
J'avais pas trop compris au départ vu que ça ressemblait pas du tout au premier chapitre mais en fait c'était le prologue ^^'
Je me demande pourquoi elle prend le taxi là et pourquoi elle parle plus vu qu'elle vient de prendre le train et tout... Vite la suite!

Changement de narrateur. Qui est-ce?

Tu es à moi,
Moi qui suis dans tous mes rêves,
Entends ma chérie.

Je commençais vraiment à m'ennuyer. Les invités d'honneur n'étaient même pas encore arrivés, et je n'arrêtai pas de sourire à tout bout de champ, même si je n'en avais pas vraiment envie. Les adultes avaient l'air vraiment enchantés d'avoir enfin une école digne de nous, leurs enfants. J'avais toujours vécu dans le luxe, du moins je pense que plus tard aussi, mais on ne sait jamais. J'étais habitué à recevoir des compliments toutes les minutes comme "Qu'il est doué !" ou encore "Il est le digne fils de Monseigneur Amasaï !". Enfin, maintenant je m'en fichais. Je savais très bien que toutes ces paroles mielleuses cachaient juste une envie, celle pourquoi nous sommes comme nous sommes. Quelques personnes me suivaient, dont un homme aux cheveux blonds et aux reflets roux un peu plus âgé que moi, c'est-à-dire 17 ans. Il était mon garde du corps et mon cousin en même temps mais l'on se considérait comme de simples amis. Je me dirigeai vers le buffet, quand la grande porte s'ouvrit, laissant place à un homme assez petit et portant des lunettes et une jeune fille aux longs cheveux châtains et aux yeux bleux clairs qui m'émut tout de suite. Elle était grande et fine, et portait une robe bouffante arrivant au genou, de dentelle blanche et d'un tissu si fin que l'on pourrait croire qu'elle ait été faite en pétale de fleur.[u]